Biographie
Ce n’est que la quarantaine passée que Jef Blancke (né en 1945 à Anderlecht) s’est mis à peindre et à écrire, simultanément et passionnément, comme pour rattraper le temps perdu. ‘Ecce homo’ est sa devise, l’homme et l’homme seul le centre de son univers. Un chien perdu, un lit, une porte, un verre, une lampe ne sont que des adjectifs picturaux renforçant la solitude de tous ces hommes, de toutes ces femmes à la recherche d’identité, d’attention, d’amour. Quand on regarde bien le long cortège de rêveurs, d’âmes en peine qu’il nous présente, dans une technique mixte d’acrylique, de crayons pastel et de fusain, un choc de reconnaissance
ne saurait tarder : on est en pays connu, celui
de nos rêves troublés, ou celui de l’autre côté
du miroir.

DFQMarc Ruyters en (H)ART, 21.10.2010

‘Blancke sait captiver sans faille l’âme des gens dont il fait le portrait dans un regard, un geste,
une attitude.


C’est un observateur sensible qui, connaissant à fond le coeur de l’homme, profite de plus en plus de sa technique de peintre pour faire le portrait du monde qui l’entoure.’